Done.
Dans “Voyage au bout de la nuit”, lorsque Bardamu est à New York, il décrit avec un mélange d’horreur et d’humour les toilettes publiques pour hommes. Céline, à travers le regard de Bardamu, évoque la mécanisation et la déshumanisation de la vie moderne en Amérique.
Il décrit ces toilettes comme des endroits où les hommes sont alignés côte à côte, séparés par de simples cloisons, dans une atmosphère impersonnelle et froide. La description est graphique et détaillée, soulignant l’inconfort et le manque d’intimité. L’éclairage artificiellement brillant, la propreté métallique et clinique, tout cela contraste fortement avec son experience en Europe.